Ce 19 août est célébrée la Journée mondiale de l’aide humanitaire. Selon les dernières données des Nations Unies, 172 travailleurs humanitaires ont été tués depuis le début de l’année 2024, marquant déjà une année potentiellement plus meurtrière que 2023, l’année la plus violente jamais enregistrée pour les travailleurs humanitaires.
Les Nations Unies soulignent avec force la nécessité cruciale de respecter et de protéger les hôpitaux et autres infrastructures humanitaires, qui ne doivent en aucun cas devenir des champs de bataille.
Pourtant, malgré des lois internationales universellement acceptées visant à réguler les conflits armés et à limiter leur impact sur les civils, les violations de ces lois continuent de se multiplier. Les travailleurs humanitaires et les civils, en général, payent un lourd tribut à cette impunité persistante.
Eric Ngarlem Tolde